
Cupko's story My name is Cupko. In February 2012, when Vlatka started to look for a home for me, I was approximately 3 months old and weight 2.5 kilos. I was just a baby but I’ve already lived through horror. On a freezing January morning in Sarajevo, a lady with good heart found me on a street with multiple open fractures in two of my legs. The nice lady called the only ones who care about animals in Sarajevo, association Av-Mau. Good people from Av-Mau brought me to a vet, raised money for necessary surgeries, medicines and a stay in a payed pension for dogs. Unfortunately, one of my legs had to be amputated as the wound was badly infected and I hardly survived. Life in Sarajevo is difficult for everybody, people and animals, and Vlatka (who writes this on my behalf) was afraid I would not survived in the streets. You see, in Sarajevo there are no shelters for dogs, there is no equivalent of Swiss or French “Société pour la protection des animaux” (SPA) , in winter temperatures can drop to -20 degrees Celsius... We, the abandon and street dogs, are left on our own and exposed to whatever cruelty comes our way. In March I could not believe my luck - I came to Switzerland and found warm and loving home in Ferney-Voltaire with Maryse and Thierry Grelard. I even got a big sister - Maybe! I thought hungry lonely days and fear were behind me. Yes, I was coughing a bit but hoped it would go away... In spite of all my will to get well, everything that good doctors: Dr. Mignot, Dr.Pommeret & Dr. Laurent in Ferney and Dr. Curtet in Carouge did for me, the awful illness won. Don't thing I did not fight - I did do my best to stay around and take care of the only family I ever had. But it was too late... Now I am with angels. When you see stars blinking in the night or the sun shining through clouds, it's me, reminding you that there are many of my friends who need your help. Please DO help them! | Histoire de Cupko Je m’appelle Cupko. En février 2012, j’avais 3 mois et je pesais 2,5 kgs lorsque Vlatka recherchait un foyer pour m’accueillir. Je n’étais qu’un bébé mais j’avais déjà vécu l’enfer. A Sarajevo, un matin de janvier glacial, une dame au grand cœur m’a trouvé dans la rue, j’avais de nombreuses fractures ouvertes sur deux de mes pattes. La dame a contacté les seules personnes qui prennent soin des animaux à Sarajevo, l’Association Av-Mau. De gentilles personnes d’Av-Mau m’ont conduit chez un vétérinaire, ont récolté de l’argent pour payer les nombreuses interventions chirurgicales que j’ai dû subir, les médicaments et mon séjour dans une pension pour chiens. Malheureusement, on a dû me couper une patte car la blessure s’était gravement infectée et j’ai survécu tant bien que mal. A Sarajevo, la vie est dure pour tout le monde, les êtres humains et les animaux. Vlatka (qui rédige ce texte en mon nom) avait peur que je ne survive pas dans la rue. Vous savez, à Sarajevo il n’y a pas d’abris pour les chiens, il n’y a aucune association comme la Société Protectrice des Animaux (SPA) en Suisse ou en France et, en hiver, les températures peuvent descendre jusqu‘à -20°C. Nous, les chiens de la rue, sommes abandonnés, livrés à nous-mêmes et exposés à toutes les cruautés possibles et imaginables. Mais au mois de mars j’ai eu une chance inouïe et je ne pouvais croire en un pareil bonheur – je suis venu en Suisse et à Ferney-Voltaire j’ai trouvé auprès de Maryse et Thierry Grelard un foyer chaleureux et aimant. J’ai même fait la connaissance d’une grande sœur (Collay à poils longs) appelée Maybe. J’ai alors cru que les jours les plus sombres de ma vie étaient derrière moi. Bien sûr, je toussais un peu et j’ai pensé que cela passerait… Malgré tous mes efforts et ceux des gentils vétérinaires (Dr. Mignot, Dr. Pommeret & Dr. Laurent à Ferney et Dr. Curtet à Carouge), le mal a été le plus fort. Ne pensez pas que je ne me suis pas battu, j’ai fait tout ce qui était en mon pouvoir pour vivre et rester auprès de la seule famille que je n’avais jamais eue. Mais il était trop tard. Maintenant j’ai rejoint les anges. Lorsque vous verrez les étoiles scintiller dans la nuit ou les rayons du soleil filtrer à travers les nuages, alors dites-vous que c’est moi qui vous demande de ne pas oublier tous mes amis qui ont besoin de vous. Aidez-les s’il vous plaît ! |